Le cancer, enfant terrible du hasard ?
néosanté.eu je vous retransmets ce que je viens de recevoir et qui intéresse tout le monde
mercredi 23 janvier 2013 | |||
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Bonjour, Cette semaine, je me mets en retrait et je vous propose un extrait du livre que nous venons de publier aux éditions Néosanté : « La vérité sur le cancer que la médecine ne vous dit pas encore ». Son auteur, Boris Sirbey, est un jeune philosophe des sciences qui a écrit cet essai sur le cancer en hommage à sa mère. Il y raconte la tragédie qui s'est déroulée lorsqu'elle a été hospitalisée, démythifie la vision classique de la maladie, explore la piste psychosomatique et développe une série de réflexions sur l'avenir de la médecine.. Son but est de montrer que, loin de se ramener à une simple affaire de génétique et de produits nocifs, le cancer est toujours en relation étroite avec le vécu personnel du patient. Dans cet extrait, Boris Sirbey met le doigt sur les failles et les contradictions de la théorie officielle, laquelle attribue au hasard un rôle prépondérant dans le processus cancéreux. La semaine prochaine, nous vous offrirons un autre extrait montrant que l'approche psychobiologique du cancer s'appuie sur des bases rationnelles autrement plus solides. Je vous recommande chaudement la lecture de ce livre d'ores et déjà disponible en libraire et sur notre site internet au prix modique de 20 €. Et je vous encourage à faire suivre ce message à vos contacts. Yves Rasir |
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Le cancer, enfant terrible du hasard ? | |||
La médecine institutionnelle considère le cancer comme le résultat de l'apparition d'une cellule anormale qui, après avoir été mise en contact avec une substance pathogène, se met à se multiplier à une vitesse exponentielle. Apparaissant d'abord dans un organe donné, le foyer primitif libère alors des cellules cancéreuses capables de former, dans d'autres parties du corps, des métastases, c'est-à-dire des cancers secondaires. Les perturbations qu'entraîne le cancer finissant inévitablement par entraîner la mort, il est alors justifié de recourir à des moyens particulièrement drastiques comme la chirurgie, la chimiothérapie ou la radiothérapie pour l'oblitérer rapidement. Ce modèle, à première vue, semble bien rendre compte des observations expérimentales sur cette maladie. Néanmoins, il implique aussi un certain nombre de contradictions. Une part très importante du processus de formation du cancer tel qu'il est envisagé par la médecine conventionnelle, en effet, relève du hasard : en premier lieu, dans le fait même de l'apparition de cellules anormales, dont la raison de la formation reste encore un mystère ; ensuite, dans le passage à l'état de cellule cancéreuse, qui est provoqué par la mise en contact accidentelle avec un produit pathogène ; enfin, dans l'évolution du cancer, la création de colonies se faisant au gré du déplacement erratique des cellules cancéreuses dans les systèmes sanguin ou lymphatique. Pourtant, un certain nombre de facteurs semblent contredire cette hypothèse du hasard :
Mis bout à bout, tous ces « phénomènes parasites » remettent en cause le modèle appliqué par la science dite « classique » et démontrent que, contrairement aux apparences, cette affection semble suivre une logique différente que celle que lui prête la médecine institutionnelle. Les cancérologues, à l'image des médecins en général, tendent à considérer le corps comme le produit d'un strict déterminisme biochimique, ce qui les amène à laisser de côté un certain nombre de phénomènes pourtant essentiels dans la pathologie du cancer. Postulant que l'organisme se réduit, en dernière analyse, à l'ensemble des actions et réactions chimiques observables expérimentalement, ils en déduisent que le développement des maladies est consécutif à une insuffisance quelconque du système immunitaire, qui, pour des raisons contingentes (fatigue ou stress de l'organisme, incapacité à répondre à la virulence d'un virus ou d'une bactérie) ou fonctionnelles (prédispositions génétiques), n'arrive plus à faire son travail. Cependant, tout le problème, c'est que le concept de « biochimie » que les cancérologues utilisent comme ciment dans leurs modèles ne renvoie évidemment pas à une entité existant réellement et agissant pour son compte propre, mais à un ensemble de processus qui dépendent en grande partie du système nerveux central, c'est-à-dire du cerveau. Or le cerveau, en tant qu'il régule les fonctions conscientes et inconscientes de l'organisme, est le siège du psychisme, qui peut donc être considéré comme l'acteur de toutes les modifications biochimiques du corps. Aussi, s'il est certain que la biochimie « contrôle » le corps et le psychisme, on peut tout aussi bien dire que la biochimie est elle-même « contrôlée » par le psychisme. De ce point de vue, ce qui caractérise véritablement la médecine actuelle, c'est que, bien qu'elle reconnaisse le rôle joué par le cerveau, elle part du principe que c'est le corps qui détermine l'esprit, et que, par conséquent, l'esprit humain n'est qu'un « symptôme » du fonctionnement du cerveau. La médecine psychosomatique, pour sa part, reconnaît à la fois l'existence du corps et de l'esprit, et considère que le cerveau joue en réalité un rôle de transmetteur dans les deux sens, ce qui permet à l'esprit d'agir sur le corps, et au corps d'agir sur l'esprit. C'est en cela que l'approche dite « holistique » en médecine, qui envisage l'être humain comme un tout, se révèle incomparablement plus efficace que l'approche biochimique, qui, en réduisant les phénomènes qu'elle étudie à un schéma déterministe strict, évacue purement et simplement une partie d'entre eux hors de son champ de compréhension. Et, pour peu que l'on considère cette approche totale, on se rend compte que, loin d'être une sorte de mode de détermination plus vague et plus subjective, la compréhension holistique est en réalité beaucoup plus précise et efficace. Boris Syrbey
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