Plaisirs et/ ou Bonheur
GILLES AZZOPARDI néosanté N°120 p12
On peut courir
après les plaisirs,
mais on ne peut pas courir
après le bonheur.
Ça ne marche pas ! Il y a dans le bonheur quelque chose qui va bien plus loin, qui est bien plus fort qu’un simple état de satisfaction. Sur un plan plus physiologique, tout ce qui conduit à la hausse de la dopamine (l’hormone du plaisir) entraîne directement ou indirectement une diminution de la sérotonine, autrement dit une diminution du bien-être.
Donc, le bonheur n’est décidément pas compatible avec les excès du plaisir !