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                                                                                                                                    Bertie et sa Bouillotte ? LAVIE et la santé ?

Le retour du scorbut

31 Janvier 2017, 18:11pm

Publié par Bertie

Le retour du scorbut
Provoqué par une carence en vitamine C, le scorbut faisait jadis des ravages parmi les marins qui passaient des mois en mer sans fruits ni légumes. Or, selon Jenny Gunton, directrice d’un centre de recherche sur le diabète à Sidney, cette maladie a fait sa réapparition en Australie. Pour son étude parue dans Diabetic Medicine, cette chercheuse a mesuré le statut vitaminique de toutes les personnes traitées dans sa clinique et elle a identifié 11 cas de scorbut avérés, imputables à une très mauvaise hygiène alimentaire. Mais le déficit en vitamine C n’est-il pas généralisé ? Rappelons que l’être humain ne synthétise pas ce micronutriment et qu’il doit impérativement le trouver dans son alimentation. Selon le Dr Alain Scohy, de très nombreuses maladies peuvent être qualifiées de « pré-scorbutiques » et sont améliorées par une supplémentation d’acide ascorbique.
 
néosanté N°64
 
Note de Bertie : J'en côtoie assez régulièrement ici en France, moins marqués, mais dont les "réserves" corporelles sont proches du "pas grand chose" ! laissant la porte ouverte à des réparations chaotique voire impossibles.
 
 

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Arrêtez de manger du poisson (sérieusement) !

28 Janvier 2017, 17:00pm

Publié par Bertie

Arrêtez de manger du poisson (sérieusement) !Extrait d’un mail de Salik de Bonnault (depuis : http://www.santeglobale.info/liberez-folie-douce-newsletter-25-janvier-2017/)

Si votre moral n’est pas au plus haut, mettez cette lettre de côté et lisez-la un peu plus tard (mais ne tardez pas trop quand même, c’est votre santé qui est en jeu !).

J’aurais aimé pouvoir vous rassurer sur le poisson… et vous encourager à profiter sans limite de ses excellentes protéines, vitamines, minéraux, et oméga-3.

Mais la réalité est que le poisson est devenu un des aliments les plus pollués qui existe.

Je sais d’avance que mon enquête ne plaira pas à tout le monde.

Ceux qui me liront trop vite me trouveront « excessif », « catastrophiste ».

« Avec vous, Xavier, on ne peut plus rien manger », me diront certains (à tort ! lisez bien, je vous dirai précisément quels poissons vous pouvez encore manger, et à quelle fréquence).

Mais il est plus que temps de mettre les points sur les i avec le poisson :

• Nous devons la vérité aux enfants et adolescents, qui pourraient se retrouver avec un diabète à 40 ans, simplement parce qu’ils ont mangé trop de poisson, croyant cet aliment sain et irréprochable ;

• Nous devons la vérité aux femmes enceintes, dont les enfants pourraient être irrémédiablement diminués, voire handicapés par les toxines contenues dans la plupart des poissons ;

• Nous devons la vérité à ceux qui ont une santé fragile : pour eux, même à faible dose, les métaux lourds et polluants des poissons pourrait les faire basculer du mauvais côté (dérèglement hormonal, maladie auto-immune, voire cancer) ;

• Et nous devons la vérité à tous ceux qui ont l’intention de vivre vieux, sans Alzheimer ni maladie chronique – et pour cela, il vaut mieux se protéger des toxines qui s’accumulent dans notre corps au fil des années, lentement mais sûrement...

Cette vérité sur le poisson n’est pas « cachée ». Ma lettre s’appuie sur des études scientifiques publiées dans des journaux de référence, et dont les médias se sont souvent fait l’écho.

Le problème est que les informations sur ce sujet sont comme les pièces d’un puzzle en désordre : elles sont dispersées, confuses, et peuvent sembler contradictoires.

Moi-même, j’ai mis du temps à réaliser l’ampleur du désastre (d’autant que j’adore le poisson !). Mais lorsque vous assemblez tous les éléments, le tableau qui apparaît est clairement inquiétant.

Découvrons-le ensemble, pas à pas.

 

L’étrange danse suicidaire des chats de Minamata

Tout commence en 1950 à Minamata, une petite ville côtière du Sud du Japon.

Les habitants assistent alors à un spectacle étonnant. Ce sont d’abord des poissons morts, qui s’échouent sur la plage. Puis des mouettes et des corbeaux, incapables de s’envoler.

Bientôt, les chats sont pris de spasmes. Beaucoup sont emportés dans une danse macabre qui les conduit directement dans la mer, à se suicider.

En mai 1956, quatre habitants de Minamata sont hospitalisés pour des troubles déconcertants : perte de parole, convulsion, hallucinations, incapacité à marcher, coma. Tous meurent. Et sont bientôt suivi par des centaines d’autres habitants, de Minimata et des villages de pêche aux alentours.

Les Japonais ont fini par découvrir qu’une grande usine locale rejetait dans la mer des quantités énormes de mercure. Ce mercure était ingéré par les poissons, qui a fini par contaminer les animaux puis les hommes.

Officiellement, 900 personnes en sont mortes. 2 265 ont formellement été reconnues victimes d’empoisonnement au mercure, avec de terribles séquelles.

Certaines femmes n’ont jamais présenté le moindre symptôme… mais ont mis au monde des enfants lourdement handicapés.

C’est une des plus graves catastrophes écologiques et sanitaires de l’histoire. Et je crains que nous ne soyons en train de la rééditer, à plus petite échelle.

Presque tous les poissons sont contaminés au mercure
Evidemment, vous ne trouverez jamais dans le commerce des poissons aussi contaminés que ceux de Minamata, loin de là – et fort heureusement ! Mais cela ne veut pas dire qu’ils sont inoffensifs.

Tous les poissons, sans exception, contiennent du mercure. En partie pour des raisons naturelles : il y a toujours eu un peu de mercure au fond des mers et des océans.

Mais surtout parce que l’homme a pollué les océans, les mers, les lacs et les rivières depuis plus d’un siècle. D’après les scientifiques du programme GEOTRACES, la concentration de mercure dans les océans a triplé depuis la révolution industrielle.

La faute en particulier aux usines de charbon et à l’incinération des déchets : le mercure émis dans l’air finit par retomber sur terre… et au fond des mers.

Il est alors absorbé par le plancton et les petites plantes des fonds marins. Qui sont mangés par les petits poissons, lesquels accumulent ce mercure dans leur graisse… et qui sont eux-mêmes mangés par les gros poissons carnivores, qui concentrent la plus forte dose de mercure.

Le classement « mercure » : attention aux prédateurs !
Le niveau d’empoisonnement au mercure est donc très variable selon les poissons.

Il y a aussi de grandes différences selon les lieux de pêche. Mais pour vous donner une idée générale, j’ai élaboré pour vous une synthèse des classements des agences de santé française, européenne, canadienne et américaine :

• Poissons ultra contaminés : requin et espadon ;

• Poissons hautement contaminés : thon rouge, thon albacore, marlin, et, dans une moindre mesure, thon blanc (germon), mérou et merlu ;

• Poissons très contaminés : thon pâle en conserve (listao, thon mignon), bar, lotte, brochet, anguille, daurade, raie ;

• Poissons moyennement contaminés : truite, hareng, la plupart des saumons, merlan, sole, cabillaud (morue), crabe ;

• Poissons peu contaminés : sardines, anchois, maquereau, saumon sauvage d’Alaska, huîtres ;

• Produits de la mer quasiment pas contaminés : coquilles Saint-Jacques, coquillages et crevettes.

Attention : je préfère vous prévenir tout de suite que certains de ces poissons contiennent d’autres polluants dangereux (le PCB en particulier, dont je vous parle plus loin).

Mais sur la seule base de leur contamination au mercure, il me paraît évident :

Qu’il ne faut jamais manger du requin, de l’espadon, du thon rouge, du thon albacore ou du marlin : ils devraient tout simplement être retirés du marché, d’autant qu’ils regroupent des espèces en danger, à protéger ;

Qu’il n’y a aucune bonne raison de prendre le risque de consommer du thon, du mérou, du merlu, du bar, de la lotte, de la daurade, de la raie (sauf festivité ou occasion particulière), et encore moins de l’anguille et du brochet ;

Et qu’il faut limiter sa consommation de truite, crabe, hareng, saumon (sauf d’Alaska), merlan, sole et cabillaud.

Car personne ne sait à partir de quelle dose exacte le mercure commence à être toxique… Dans le doute, donc mieux vaut l’éviter autant que possible !

Vous ne pouvez jamais savoir la quantité de mercure dans votre assiette

Surtout que, pour une même espèce de poisson, la quantité de mercure qu’il contient peut varier du tout au tout selon l’endroit où il est pêché !

La truite, par exemple, a plutôt bonne réputation. Mais celle des lacs canadiens fait partie des poissons les plus contaminés en mercure au monde ! [1]

Même les petits poissons, qui contiennent le moins de mercure, ne sont pas épargnés par ces variations : on trouve 4 fois plus de mercure dans les sardines et anchois pêchés en Méditerranée que dans l’Atlantique [2]… et 10 fois plus de mercure dans les harengs de la mer du Nord que dans ceux de St Pierre et Miquelon !

Et notez bien que le « bio » ne vous protège en rien du mercure… C’est parfois même le contraire ! D’après une analyse réalisée par 60 millions de consommateurs, le saumon norvégien bio « Agir » contient sept fois plus de mercure que le saumon « Pescanova », pêché dans l’Atlantique et élevé au Chili. [3]

La palme du danger revient tout de même au thon en conserve : plusieurs boîtes de thon de nos supermarchés dépassent la moitié de la limite réglementaire de mercure, ce qui est considérable. [4]

Ne vous faites pas avoir par le discours sur le « bénéfice-risque »

Mais alors, pourquoi la plupart des autorités de santé recommandent-elles tout de même de manger deux portions de poisson par semaine ?

Tout simplement parce que les poissons gras (saumon, sardines…) contiennent de grandes quantités d’oméga-3, qui sont des acides gras indispensables pour la santé de votre cœur et de votre cerveau.

Et comme vous avez beaucoup plus de chances de mourir d’une maladie cardiaque que d’une maladie liée au mercure, les autorités préfèrent ne pas vous déconseiller ces poissons, car leur « bénéfice / risque » est plutôt positif.

C’est particulièrement vrai pour ceux qui se nourrissent toute la journée de pizza, de pâtes, de chips et de biscuits. Pour eux, consommer un peu de poisson est quoi qu’il arrive un progrès considérable.

La triste leçon des enfants Inuits

Les femmes enceintes sont particulièrement concernées par ce dilemme.

Le cerveau du fœtus a absolument besoin d’oméga-3 pour se développer. Mais il doit aussi impérativement être protégé de la toxicité du mercure.

Jusqu’à récemment, on s’imaginait que les bienfaits des oméga-3 étaient supérieurs aux dégâts du mercure [6]. Mais ces « espoirs » ont été balayés par l’étude approfondie des tribus Inuit de Nunavik, qui consomment beaucoup de poissons riches en oméga-3 et en mercure.

D’abord, les chercheurs ont montré que les enfants Inuit qui avaient dans leur sang un taux élevé de mercure et de plomb à leur naissance étaient trois fois plus nombreux à souffrir du syndrome d’hyperactivité et de déficit de l’attention. [7]

Puis, ils ont découvert que, parmi ces mêmes enfants, ceux qui avaient un taux de mercure élevé à la naissance avaient en moyenne un QI inférieur de 5 points [8] par rapport aux autres - ce qui prouve à quel point le mercure nuit au développement du cerveau du fœtus !

Et n’imaginez pas que ces enfants avaient des taux de mercure beaucoup plus élevés que chez nous. Les taux étaient globalement similaires à celui des populations occidentales qui mangent beaucoup de poisson. [9]

Voilà pourquoi je suis convaincu que les femmes enceintes devraient prendre des oméga-3 en gélule (comme la vitamine B9 qu’on leur prescrit systématiquement) et s’abstenir totalement de prendre des produits de la mer.

Et ce même conseil pourrait valoir pour tous ceux d’entre nous qui ont une santé fragile.

Manger du poisson… et attraper le diabète !

Il faut bien comprendre que, selon notre histoire personnelle et notre mode de vie, on est plus ou moins vulnérable au mercure.

Il est évident qu’un homme de 25 ans en parfaite santé, qui fait du sport 3 fois par semaine, s’expose au soleil régulièrement, mange quantité de légumes anti-oxydants et ne souffre d’aucun stress dans sa vie n’aura absolument aucun problème à se « détoxifier » de la faible dose de mercure contenue dans les sardines, s’il en mange 2 ou 3 fois par semaine.

Mais nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne.

Peut-être avez-vous l’intestin poreux, ou un foie en mauvaise santé. Ou peut-être avez-vous, sans le savoir, une vulnérabilité génétique qui vous empêche d’éliminer facilement les métaux lourds.

Prenez cette étude récente, dans laquelle des chercheurs ont sélectionné des jeunes adultes et les ont suivis pendant près de 20 ans… Ils ont découvert que ceux qui avaient le plus avalé de mercure avaient aussi 65 % de risque en plus de souffrir d’un diabète de type 2 ! [10]

Ces résultats font froid dans le dos, car ce sont ceux… qui avaient le mode de vie le plus sain ! Ils mangeaient « bien », faisaient du sport, ne connaissaient pas le surpoids. Mais ils mangeaient trop de poisson.

Et ce n’est pas tout : une autre étude publiée en 2015 a montré qu’une plus grande exposition au mercure est aussi associée à un risque plus élevé de maladie auto-immune. [11]

Bon, je vous avais dit que j’allais vous déprimer… Et ce n’est pas fini, hélas ! Car d’autres polluants plus méconnus viennent encore assombrir le tableau.

A commencer par les redoutables PCB…

Les PCB, grands polluants méconnus des poissons

Le grand paradoxe avec les biphényles polychlorés (PCB), c’est qu’ils continuent encore et toujours à nous intoxiquer alors qu’ils sont interdits depuis plusieurs dizaines d’années.

Jusqu’à la fin des années 1970, l’industrie a utilisé en masse ces composés chimiques complexes. Ils ont alors été rejetés dans les cours d’eau, contaminant les rivières et les côtes. Ils ont aussi été diffusé dans l’air… et sont retombés au fond des mers.

Le gros problème des PCB est qu’ils sont très peu biodégradables : une fois dispersés, ils s’accumulent dans l’environnement… et viennent servir de nourriture aux poissons. On en trouve un peu également dans les viandes et le lait, mais en moins grande quantité.

En France, ces poisons ont été interdits en 1987… mais comme ils étaient partout – dans les peintures, l’asphalte, les résines, les textiles, les adhésifs –, ils continuent de se disperser à petit feu… et à s’accumuler dans notre environnement !

Voilà pourquoi l’administration française comptabilisait en 2013 pas moins de 550 sites terrestres pollués aux PCB, contre « seulement » 437 en 2011. Une hausse de 25 % en deux ans, alors que cela faisait plus de 30 ans qu’ils étaient interdits !

La situation de nos rivières et de nos estuaires est dramatique. Dès 2010, un arrêté de la préfecture de la région Haute-Normandie interdisait la pêche à la sardine en baie de Seine, entre Dieppe et Barfleur, pour cause de PCB.

Le 1er novembre 2015, la France et la Suisse ont décidé d’interdire à la vente les grosses truites du lac Léman… là encore du fait de leur teneur trop élevée en PCB !

Car ces PCB ne s’accumulent pas seulement dans la nature : ils s’accumulent aussi dans votre organisme et mettent des années, voire des dizaines d’années à en être éliminés.

Voilà pourquoi l’Organisation Mondiale de la Santé classe les dioxines de type PCB comme des perturbateurs endocriniens avérés, des saboteurs du système immunitaire… et même des facteurs de cancer. [12]

Le classement « PCB » : malheur aux petits poissons gras !

Sans surprise, ce sont les poissons des rivières et des côtes qui sont le plus touchés par les PCB et autres dioxines. Les brochets, silures/poissons chats et les anguilles sont radicalement pollués, et sont donc définitivement impropres à la consommation. Aucun regret à avoir pour ces espèces déjà riches en mercure.

Le drame est que les poissons les plus sains – car épargnés en mercure et riches en oméga-3 – sont aussi les plus touchés par la pollution aux PCB.

C’est le cas en particulier des sardines : d’après une enquête de l’Agence Française de Sécurité Alimentaire (ANSES), les sardines sont le plus gros contributeur de PCB (et autres « polluants organiques persistants ») dans notre alimentation.

C’est malheureusement tout à fait logique : les oméga-3 sont des graisses… et c’est aussi dans la graisse que les polluants s’insèrent et s’accumulent le mieux.

Cela vaut pour les poissons (plus le poisson est gras, plus il accumule les PCB de son environnement), pour les mammifères (les toxines se concentrent dans la graisse de la viande et du lait)… et pour les humains (les polluants s’accumulent dans votre graisse, d’où l’intérêt de rester mince !).

Je tiens à vous citer le rapport de l’ANSES, car c’est un fait trop souvent passé sous silence :

« Il convient de préciser que ces espèces, en particulier le saumon, la sardine et le maquereau, sont des poissons gras et si elles sont de bons vecteurs d’oméga 3, elles présentent également de fortes teneurs en polluants organiques persistants (POP) et sont les principaux contributeurs à ces expositions. » [13]

Le rapport ne mentionne pas les autres petits poissons riches en oméga-3, harengs et anchois. Mais les harengs sont un choix risqué : un rapport de l’INRA de 2002 pointait une lourde pollution des harengs en dioxines et PCB. [14]

J’en ai presque fini avec les mauvaises nouvelles… mais pas tout à fait :

Plomb, Cadmium, pesticides, retardateurs de flamme : la cerise sur le gâteau

D’après l’ANSES, les sardines contiennent aussi des doses élevées de plomb [15], une raison supplémentaire pour les femmes enceintes de les éviter totalement. On a aussi trouvé des doses excessives de plomb dans la sole [16] et de cadmium dans la morue. [17]

Mais les produits de la mer qui contiennent le plus de ces deux métaux lourds (plomb et cadmium) ne sont pas des poissons : ce sont les moules, les coquillages et les calamars. [18]

Et oui, je n’avais cité les fruits de mer… et peut-être espériez encore pouvoir continuer à les manger régulièrement en toute tranquillité ? Mais non, surtout pas, d’autant que les moules sont par ailleurs considérablement polluées en PCB.

Autres polluants fréquemment retrouvés dans les poissons : les pesticides. Aux Etats-Unis, une analyse d’échantillons de supermarché à Dallas a retrouvé 24 pesticides (de type DDT) sur 32 dans le saumon et 17 sur 32 dans les boîtes de conserve de sardines [19] - en plus des doses élevées de PCB qu’ils ont retrouvé dans ces échantillons.

Enfin, on trouve aussi des « retardateurs de flamme » dans les poissons, parfois à haute dose. Ces substances toxiques sont particulièrement présentes dans les moules, les sardines, le saumon d’élevage et le poisson chat. [20]

*****************Note de Tal : Nous n’avons en fait aucun besoin de poisson, quel qu’il soit ! Nous pouvons trouver dans les végétaux, notamment les graines germées, tout ce dont notre corps a besoin pour fonctionner au mieux ! Si vous voulez la liste des références :mail@guetteurdelaube.com

 

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Plus qu'un cadeau ?

24 Janvier 2017, 20:22pm

Publié par Bertie

Plus qu'un cadeau ?

Marie-Pier est de Montréal au Canada, sans accent, pour le début d'année elle m'a envoyé, de Bali ou elle se trouve actuellement, une méditation  superbe, que j'ai écouté en faisant "autre chose" ... pour voir !

Et j'ai été ... subjugué, pourtant je partais un peu à reculons. 

Marie-Pier n'est pas un gourou ni une professeur de "quelque chose" non, elle dit son cœur avec justesse et beaucoup d'amour comme quelqu'un qui à subit et exploré ...

Alors faites comme moi, écoutez-là en faisant autre chose, (mais pas en conduisant ou en ayant une activité qui demande de l'attention bien sûr !) vous-y reviendrez !

        Bonne écoute . 17minutes.

http://bit.ly/2jZaYYB

 

Vous pouvez la retrouver sur son site : www.matinmagique.com

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Compteur LINKY, Avez-vous vérifié ce qui est afiiché sur votre disjonteur si c'est déja fait chez-vous ?

21 Janvier 2017, 15:44pm

Publié par Bertie

https://www.youtube.com/watch?v=k3e20e_oy2Y

J'ai mis un commentaire ce jour 21/01/2017 Combien de temps va -t-il rester ?

Disjoncteur resté sur 45Ampères au lieu des 15A de départ ? à 1'20 et passé à 45A à 5'45 !

********************

Autrement dit le client va payer maintenant un abonnement 45A plus cher !

Et il a signé .... donc donné son accord ...

 

Vous avez "encore" la possibilité de refuser si ce n'est pas fait, si le compteur est à l'intérieur

S'il est accessible de la voie publique vous êtes foutu !.

 

NON ils n'ont pas le droit "légal" de vous couper le courant ni de vous faire légalement "payer" une amende puisque vous pouvez effectuer le relevé vous même comme actuellement et le faire parvenir par mail.

Refusez de laisser entrer le technicien dans votre maison, s'il insiste ou force votre porte, appelez immédiatement la gendarmerie en sa présence pour effraction..

 

d'autres info :

http://refus.linky.gazpar.free.fr/

 

 

 

 

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À CONDITION QUE CE SOIT DU RIZ...

19 Janvier 2017, 18:29pm

Publié par Bertie

LE RIZ, UN REMÈDE OUBLIÉ...
À CONDITION QUE CE SOIT DU RIZ...


La Chine reste le plus grand producteur de riz au monde. L'Empire du Milieu récolte plus de 200 millions de tonnes de riz par an, dont une bonne part est exportée dans le monde entier. Pourtant, les cuisiniers et consommateurs doivent se montrer prudents : non seulement, cet aliment contient des pesticides utilisés dans l'agriculture chinoise, mais selon le journal The Korea Times, le riz peut également être fabriqué de façon artificielle.

La fécule de pomme de terre est mélangée avec du plastique (de la résine synthétique, par exemple) et prend ensuite la forme d'un grain de riz. Les grains sont ensuite cuits à la vapeur avec un arôme de riz typique. Les médecins tirent la sonnette d'alarme contre la consommation de ce produit artificiel : trois portions pleines contiendraient apparemment autant de plastique qu'un petit sachet en plastique !

Le pire est que vous ne pouvez pas savoir si le riz que vous achetez régulièrement comporte en totalité ou en partie, du riz synthétique.

Voici quatre tests simples par lesquels vous pourrez savoir si votre riz est naturel ou du plastique :

Le test de l'eau


Versez une cuillère à soupe de riz cru dans un verre rempli d'eau froide et mélangez vigoureusement. Si le riz tombe au fond du verre, tout va bien ; si au contraire il flotte à la surface, soyez vigilants, car il contient sûrement du plastique.

Le test du feu

À l'aide d'un briquet, brûlez une poignée de riz. Si ce dernier prend feu et dégage une odeur de plastique brûlé, vous savez quoi faire ! Ne le mangez surtout pas !

Le test du mortier et du pilon

Lorsque vous moulez quelques grains de riz avec un mortier et pilon, la poudre doit être bien blanche. Pour le riz artificiel, vous apercevrez une décoloration jaune à la place.

Le test de moisissure

Si vous voulez être sûr que vous ne risquez rien avec votre riz cuit, mettez-en une petite quantité dans un Tupperware et laissez-le dans un endroit chaud. Dans quelques jours, de la moisissure devra apparaître, sinon c'est que votre riz est artificiel.

Ah, ces Chinois !... Il serait intéressant de savoir si ce riz est fourni aux Chinois ou s’il est réservé à l’exportation.

Mais cet épisode du riz chinois ne doit pas nous détourner du vrai riz dont les propriétés nutritives sont exceptionnelles.

Le riz est un aliment universel (s'il est complet ou au moins semi-complet)

Le riz est l'aliment de base de plusieurs milliards de personnes à travers le monde. Il renferme la plupart des éléments vitaux indispensables à notre santé. Il est dépourvu de gluten, ce qui est un avantage pour ceux qui y sont plus ou moins allergiques. Il se dit qu’il existe plus de 40000 variétés de riz différentes selon certaines sources et 70000 selon d’autres. C'est sous la forme de grains complets que l'on peut le qualifier d'aliment par excellence, car l'assise protéique et surtout le germe renferment tous les précieux éléments vitaux, sous forme de fibres, de glucides complexes, de vitamines essentielles (surtout du groupe B), et de minéraux.

Le son de riz qui est issu de l’enveloppe du grain, concentre donc la plupart des nutriments vitaux intéressants – dommage qu’il nuise à la conservation des grains. Hélas, l’intérieur des grains est essentiellement de l’amidon ; c’est pour cela que le riz blanc (décortiqué) présente une valeur nutritive médiocre, et peut entraîner des dégâts considérables par carences parmi les populations soumises à cette alimentation majoritaire.

Quels riz choisir ?

Le riz blanc : Il est totalement débarrassé du germe et du son. Ce riz totalement décortiqué est même poli ce qui le prive de la plupart de ses éléments nutritifs. D'une façon générale, le riz blanc est plus consommé que le riz complet ou le riz brun, car les consommateurs préfèrent son goût et sa couleur, ce qui n’est pas trop important à condition qu’il ne soit utilisé que comme accompagnement à la place du pain.

Le riz étuvé (précuit) : Il est cuit sous vide avec son enveloppe, puis décortiqué et séché après cuisson. Ce traitement le rend très facile à cuire, et permettrait de préserver en partie les nutriments car paraît-il, ils migrent au cœur du riz durant le processus d'étuvage...

Le riz complet et semi-complet, bio de préférence, est la seule forme noble méritant le label d’aliment de base. C’est un aliment (presque) complet pour l’apport protéinique.
Oui, je dis « presque » car si le riz complet apporte les 12 acides aminés essentiels (arginine, histidine, lysine, tryptophane, phénylalanine, tyrosine, leucine, isoleucine, thréonine, méthionine, cystine, valine) nécessaires à la synthèse des protéines, surtout pour la croissance des organismes jeunes, mais aussi pour l’entretien à l'état adulte, il lui manque toutefois un élément pour pouvoir assembler le lego de cette synthèse protéinique. C’est pour cela qu’il doit obligatoirement être toujours associé à l’une ou l’autre des légumineuses qui apportera ce complément indispensable.

Le top : le riz sauvage

Le riz sauvage a une origine botanique différente de celle des autres types de riz. En effet, ce n’est pas exactement une variété de riz, mais plutôt la graine d’une plante graminée aquatique. Trouvé aux États-Unis et au Canada, le riz sauvage fait partie de l’alimentation amérindienne depuis plusieurs siècles. Sa couleur très foncée et sa saveur rappelant légèrement la noisette en font un aliment intéressant pour apporter variété et originalité à notre assiette.

Le riz sauvage est riche en : phosphore, magnésium, fer, zinc, manganèse, cuivre, vitamine B2, vitamine B3, vitamine B6, vitamine B9.

Protéines. Selon le Fichier canadien sur les éléments nutritifs, une portion de 125 ml de riz sauvage cuit contient 3,5 g de protéines, contre environ 2,5 g en moyenne pour les autres types de riz. De plus, le riz sauvage contient presque deux fois plus de lysine que les autres types de riz, qu’ils soient blancs ou bruns.

Fibres alimentaires. Le riz sauvage canadien a un contenu plus élevé en fibres alimentaires que le riz blanc : une portion de 125 ml de riz sauvage cuit contient 1,6 g de fibres alimentaires, soit jusqu’à quatre fois plus que certains riz blancs (0,4 g). Le riz sauvage a ainsi un contenu en fibres équivalent à celui du riz brun. On sait qu’une alimentation riche en fibres variées peut contribuer à maintenir une fonction intestinale adéquate, diminuer le risque de cancer du côlon, ainsi que normaliser les taux sanguins de cholestérol, de glucose et d’insuline.

Pour s’assurer que l’on a affaire à du riz véritablement sauvage, vérifier que l’emballage comporte l’une ou l’autre des mentions suivantes : lake wild rice, hand-picked wild rice, hand-harvested wild rice (riz sauvage de lac, riz sauvage ramassé ou récolté à la main).

Cuisson du riz sauvage

Rincer le riz à l’eau courante avant de le cuire. Calculer environ une tasse de riz pour trois tasses d’eau. On pourra le cuire sur la cuisinière ou dans un four réglé à 175° C. La cuisson prend de 30 à 60 minutes selon la variété, mais on calcule habituellement 45 à 50 minutes sur la cuisinière et une heure au four. Les grains devraient être fendus et montrer un cœur blanc, mais ne devraient pas être recourbés (signe qu’ils sont trop cuits). Si nécessaire, égoutter le riz en fin de cuisson.

Le « bon riz », un ami des reins

De nombreux aliments produisent, lors du métabolisme, des déchets (dont certains, comme les purines, sont toxiques). L'organisme doit les éliminer au prix de grosses sollicitations sur les organes tels que le foie et les reins. Or, fait rare en alimentation, le riz ne contient aucune purine.

Un ami des artères

La couche externe du riz complet est un des rares aliments à contenir une substance complexe, le gamma-oryzanol, dont il est prouvé qu'elle freine la production de cholestérol par le foie. Le riz complet est donc un aliment de choix pour abaisser le taux de cholestérol.

Un ami de l’intestin

Les fibres du riz complet appartiennent à la catégorie des fibres insolubles qui jouent un rôle d'éponge dans l'intestin, absorbant de grandes quantités d'eau. Cela aide à rendre les selles plus volumineuses et plus humides, ce qui en facilite l'excrétion. Cela permet également au bol fécal de traverser plus rapidement le côlon, si bien que les substances nocives qu'il contient ont moins le temps pour endommager les cellules. Par sa richesse en fibres et en vitamines du groupe B, qui participent à l'assimilation des sucres dans le sang, le riz complet convient particulièrement aux diabétiques.

La diète au riz du Dr Kempner

En 1934, alors qu'il était médecin au Duke Hospital, le Dr Walter Kempner créa une diète pour les patients présentant une hypertension artérielle élevée et souffrant de maladies rénales. Cette diète à base de riz se révéla tellement efficace, non seulement pour traiter ces maladies, mais également pour perdre du poids et retrouver santé et vitalité, qu'elle devint rapidement célèbre et attira de très nombreux patients à sa clinique, dont de nombreuses personnalités.
Ainsi, le Dr Kempner à mené des recherches et publié les résultats révolutionnaires obtenus par ce régime, et répertoriés ci-dessous :

  • Affections rénales,
  • Apnée du sommeil,
  • Cholestérolémie,
  • Diabète,
  • Hypertension,
  • Insuffisance cardiaque congestive,
  • Maladies cardiovasculaires,
  • Œdèmes,
  • Psoriasis,
  • Raideurs articulaires associées à l'arthrite.


Mais ce qui contribua probablement le plus à son énorme popularité, est sa faculté à faire perdre du poids ! Il se retira en 1992 et il est décédé en 1997 à l'âge de 95 ans.

NOTA : Ce régime rejoint le régime n° 7 de Georges Oshawa, le fondateur de la macrobiotique, qui a permis des milliers de guérisons, y compris de nombreux cancers de type Yin.

Michel Dogna
Repris sur : http://www.alternativesante.fr/
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Çà peut servir d'avoir un rappel de temps à autre !

6 Janvier 2017, 13:26pm

Publié par Bertie

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Le secret pour ne pas développer de tumeur cancéreuse

En fait, il suffit d’adopter un mode de vie anti-cancer et une alimentation anti-cancer.

Et c’est beaucoup plus facile qu’on ne le pense !!!

Si vous voulez vous débarrasser de cette menace, commencez par appliquer ces 6 gestes quotidiens et votre chance de développer une tumeur cancéreuse sera presque divisée par deux.

  • Évitez SUPPRIMEZ les produits laitiers : il est prouvé que les grands buveurs de lait développent 2 fois plus de cancers de la prostate ; (les autre aussi !)
     
  • Méfiez-vous des mauvaises graisses : la consommation de graisses trans (plats préparés, confiseries, biscuits, viennoiseries, pâtes à tarte) et de graisses saturées multiplient presque par deux le risque de cancer du sein ;
     
  • Choisissez les bonnes huiles : si vous consommez trop d’oméga-6 (huile de tournesol) et pas assez d’oméga-3 (huile d’olive et de colza), vous aurez plus de chance de développer une tumeur au sein ou à la prostate ;
     
  • Attention au surpoids : une étude anglaise a montré que l’augmentation de l’indice de masse corporelle (IMC) de 1 point augmente automatiquement le risque de développer tous les cancers ;
     
  • Bougez 30 minutes par jour : c’est le temps que vous devez consacrer à l’activité physique (ou 1 heure 3 fois par semaine) pour diminuer votre risque de cancer ;
     
  • Mangez des antioxydants : les grenades, l’ail, l’oignon, les brocolis contiennent de grandes quantités d’antioxydants, tout comme la sauce tomate qui contient du lycopène, un antioxydant très puissant qui vous protège du cancer.

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Xavier Bazin  (extrait de la lettre santé corps esprit du 6/1/17)

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Je rajoute :

Bien sur en tenant compte que notre corps "fabrique" lui-même ses cancers (4 sortes différents : accélération, arrêt, en creux et en masse).

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Un peu de vitamine C et D TOUS LES JOURS ! (antioxydants et matériaux de base des membranes cellulaires)

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Çà n'empêche pas la Vie, la vôtre, d'être ce qu'elle est, mais elle vous permettra de ne pas mettre votre corps en danger grave !

 

Vous avez remarqué que ceci s'adresse à une personne seule ? Comment allez vous faire passer l'info au reste de la famille ?

BONNE ANNÉES !!!!!!

 

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