Sommeil ou REPOS intensif ?
Souvent, pour ne pas dire toujours chacun est persuadé (a été persuadé ?) par les lobbies pharmatico/médicaux qu'il fallait dormir 8 heures (au moins) par jour !
Ceci n'est, pas juste ni vrai !.
Car cela dépend :
- De votre âge (6 mois, 15 ans, 50 ans, 66 ans, 95 ans ?)
- De votre fatigue du jour .
- De votre état de santé, donc de ce que votre système de réparation corporel, organisé par votre cerveau dit "archaïque", à besoin comme temps disponible pour les grands chantier du jour .
- De la durée réelle de vos cycles personnels de sommeil , "on" dit environ 1h30 mais je connais des amis dont le cycle ( vérifié ) est de 48 minutes ! Le mien est de 1h 09mn et certaines personnes approchent les 2 heures ! Sachant que en temps "normal" il faut à notre corps 5 cycles pour récupérer, 6 si la journée à été travaillée ou intensive.
Faites votre calcul,
6 x 2h = 12h
ou 5 x 48mn = 4h.
Nous sommes loin des 8 heures officielles préconisées pour tous !
Pour un nourrisson en pleine croissance avec plein de travaux de constructions corporels et d'adaptations il est facile de comprendre ses longues périodes de sommeil.
Pour un senior en bonne santé et en retraite active raisonnée avec des pauses plusieurs fois par jour pour souffler, voir des siestes devant la TV ou l'ordi, les nuits seront normalement plus courtes.
Sans que l'on puisse ni doive quantifier d'insomnies justifiant la prise de médicaments , chimiques ou non !
C'est là qu'intervient la notion de REPOS INTENSIF.
Je disais plus haut que notre cerveau à besoin de temps libre pour organiser et réaliser les chantiers de réparation du jour.
- Les remplacements cellulaires journaliers.
- Les réparations des petites blessures .
- Évacuer les mini ou plus gros hématomes liés aux chocs divers de la vie courante.
- Réparer l'intima des vaisseaux sanguins et suivre les pressions et dépressions cardiaques normales ou accidentelles, si des stress particuliers (volontaires ou non ) ont eu lieu dans la journée.
- etc...
¤ Certains "chantiers" sont réalisés sans modification de l'activité normale comme la digestion par exemple, mais imagineriez-vous une réparation d'une paroi interne du cœur en pleine montée d'un escalier vers le 5ème étage ou de la muqueuse de la gorge au milieu du repas ? Non bien sur !
Pour cela il faut une période de calme complet et prolongée (sommeil ?).
Imaginez une autoroute à fort trafic, une intervention importante ne peut avoir lieu sans précautions ni préparations en amont, c'est pareil dans votre corps et l'apport de matériaux nécessaires dépend de votre alimentation et de vos apports volontaires.
À vous d'y veiller, surtout si un gros "chantier" se profile ou est en cours ...
Le REPOS INTENSIF est un temps où vous allez laisser votre organisme, pendant un tiers de cycle (soit 16 à 40 minutes dans nos exemples ), au repos simple mais sans stress extérieurs, que ce soit dans un fauteuil, sur ou dans votre lit, une chaise longue, (mais pas en plein soleil) et pourquoi pas avec un bon livre ou une revue qui ne risque pas de vous stresser (donc pas de journal d'info ou de livre policier ou de guerre ou de sexe ...).
Soyez attentif : vos pensées doivent pouvoir "dériver" si le besoin s'en fait sentir, c'est tout .
Il en va tout autrement dans les phases dites de MALADIE ou de convalescence post-opératoire.
Sauf que la durée des cycles ne vont pas changer ...
Mais les travaux à réaliser peuvent être considérables, les matériaux nécessaires pratiquement absents ou livrés au compte goutte dans l'environnement hospitalier totalement stressant et sans humanité (ou presque), Il va falloir complémenter au mieux.
Ce sont donc le nombre de cycles qui doivent être augmentés ( 8, 10, 12 !) et là tous les efforts du malade et des proches soignants doivent être déployés pour permettre et encourager ces cycles de sommeil et repos intensif.
Tout est bon, bouillotte chaude sur le ventre , méthode Gardelle si nécessaire , tisanes apaisantes, seau hygiénique dans la chambre si les toilettes sont un peu loin, musique douce si l'environnement est un peu bruyant,
Les repas devront être adaptés : aucun laitages (de vache surtout) et si possible pas de céréales avec du gluten, apport de vitamine C au delà des doses officiellement préconisées ( c'est ce qui sert à fabriquer des membranes cellulaires de bonne qualité et réduire les douleurs, + de 5g par jour en tous cas, en plusieurs prises ), de l'eau pure non minérale (osmosée par exemple ou eau de source) en quantité suffisante tout au long de la journée bien sur ! Du sel de mer de Guérande non raffiné ou Himalaya, ou mieux du Quinton (en litre chez CSBS).
Privilégier plutôt 5 petits repas dans la journée.
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LA BIBLIOTHÈQUE DES RÉPONSES de notre corps face au stress
1 - Les problèmes liés au territoire : Cœur, artères, bronches,os plats, vessie
2 - Les problèmes de survie : Poumons, plèvre, rate et pancréas
3 - Les problèmes liés à la reproduction de notre espèce : organes sexuels,seins
4 - Les problèmes liés aux organes des sens : yeux, oreilles, nez, bouche, peau
5 - Les problèmes liés aux séparations, aux pertes et aux abandons : La peau, seins, testicules, prostate.
6 - Les problèmes de dévalorisation et de non reconnaissance donc (Performance) : les muscles, tendons, articulations.
7 - Les problèmes de digestion des évènements et aliments : Tout le système digestif avec la particularité de chaque organe concerné et sa place dans le transit.(C'est le seul organe ouvert sur l'extérieur par les 2 bouts)
8 - Les problèmes liés à l'identité personnelle : anus, hémorroïdes.
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Chaque niveau considéré de l’être humain, biologique ou psychique, possède ses propres mécanismes d’adaptation et de régulation pour maintenir l’équilibre vital de l’ensemble. Lorsque les possibilités d’adaptation biologiques sont dépassées, notamment dans les situations d’urgence, l’organisme a encore la ressource de provoquer une réaction de stress ; son ultime effort pour produire un surcroît de possibilités métaboliques d’adaptation. Eh bien, il existe un système de régulation similaire de la vie psychoaffective : une contrariété « banale » peut amener un changement de stratégie du sujet pour l’aider à s’adapter (devenir méfiant, par exemple) et dépasser son problème.
Lorsque des conflits plus importants surviennent, le sujet ressent une forte émotion qui est la manifestation du débordement de ses capacités psychiques d’adaptation. Il peut alors, si possible, se décharger du poids de l’émotion avec un tiers. Il ne s’agit pas de raconter les événements traumatisants, mais la façon dont ils ont été ressentis. Mais, si une stratégie n’est pas rapidement trouvée, et si le sujet vit son conflit dans l’isolement, il est contraint de trouver une autre solution pour rééquilibrer son psychisme. Pour retrouver un certain calme psychoaffectif, une certaine paix intérieure, il est obligé de recourir à un stratagème. Et ce mécanisme, c’est la compensation symbolique inconsciente.
En d’autres mots, c’est le dernier recours d’adaptation psychique au stress. Elle se déclenche dans l’urgence, automatiquement et à l’insu de la personne.
Et si la maladie n’était pas un hasard... Apprendre à reconnaître les maladies développées par notre corps pour compenser nos grandes et petites déceptions émotionnelles, et comment les éviter, Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte (Le Jardin des Livres, 2008).
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La vie se lit en trois plans*,
ni reliés ni séparés,
appartenant à une seule et même réalité.
* Physique, émotionelle, spirituelle ?
* Physique, énergétique, supérieure ?
* Corps physique, corps éthérique, aura ?