Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi il s'appelle le présent.
Transmis par 2L ...................69 jours avant...
Celui-ci est l'article N° 900 depuis la création du Blog !
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Les yeux de l'âme
Deux hommes, les deux sérieusement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. Un des deux avait le droit de s'asseoir dans son lit pendant une heure
chaque après-midi afin d'évacuer les fluides de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait rester impérativement couché sur le dos.
Les deux hommes parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, leurs maisons, leurs emplois, leur participation dans le service
militaire et où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand celui près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il
pouvait voir dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisait naviguer leurs
bateaux. Les jeunes amoureux marchaient bras sous bras parmi des fleurs de chaque couleur de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et une belle vue de la ville s'étendait sous
eux.
Pendant que l'homme de la fenêtre décrivait tout ceci dans le détail exquis, l''autre n'avait que le choix de fermer les yeux et d' imaginer les scènes décrites.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme ne pouvait pas entendre l'orchestre, il pouvait la voir
avec l'oeil de son imagination tellement son compagnon la lui dépeignait avec minutie.
Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, l'infirmière de jour est arrivée pour apporter l'eau pour leurs ablutions et trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, qui etait mort paisiblement dans son sommeil.
Elle fut attristée et appela les collègues pour enlever le corps. Dès qu'il senti que c'était possible il demanda à être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière
était heureuse de le transférer et après s'être assurée qu'il était confortablement installé, elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, il se monta sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin il aurait la joie de le voir lui-même. Il s'étira pour se tourner
lentement vers la fenêtre près du lit. Tout ce qu'il vu, fut........ un mur.
L'homme demanda à l'infirmière comment son compagnon de chambre décédé avait décrit de si merveilleuses choses, et l'infirmière lui répondit que l'homme décédé était aveugle et ne pouvait donc même pas voir le mur.
"Peut-être,a t-il juste voulu vous encourager."
Auteur inconnu .
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Il y a un bonheur énorme à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres situations.
La peine partagée est la moitié de la douleur, mais le bonheur une fois partagé lui est doublé.
Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter toutes les choses que vous avez et que l'argent ne peut pas acheter.
Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi
il s'appelle le présent.