MAIGRIR est un problème de poids et de volumes...!
Mais aussi abandonner l'idée de régime de contraintes, auquel il faut se confronter tous les jours, tenter de contrôler quelque chose ou quelqu'un sur lequel on a pas de prise(s), être suffisamment fort soi-même pour que les autres n'aient pas de prise sur vous.
Être suffisamment volumineux pour être vu par celui ou ceux qui doivent nous "voir" ou que l'on aimerait qu'ils nous voient "plus".
[>] Pour se sentir important ? (cf les hommes d'affaires)
Être suffisamment volumineux pour éloigner celui ou ceux qui nous ont fait, ou amené, à la peur ( quand on était tout jeune ou plus tard ?) et donc, leur faire peur ?
Faire le poids face à quelqu'un perçu par notre inconscient comme un prédateur (actuel ou passé), ou un adversaire dans une lutte sur ce que nous pensons être notre territoire.
Et vous allez nous en mettre d'autres en commentaires j'espère bien, sinon c'est que j'aurais tout répertorié !
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Abandonner,confronter,s'abandonner,entrer en conflits et en affrontements,oublier les abandons subis,abandonner l'idée de régime,tenter de contrôler,être suffisamment fort,volumineux pour être vu,volumineux pour éloigner,leur, faire peur,Faire le poids,prédateur,adversaire,lutte,notre territoire.
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Gardez en mémoire que nous avons des mémoires anciennes dans notre histoire personnelle et collective, et que :
Notre CORPS est l'expression
extérieure de nos idées .
Selon Gary Taubes, la théorie sur laquelle est basée la gestion du poids (moins de calories, moins de graisses, plus d'exercice) est fondée sur de la mauvaise science,
et les messages nutritionnels actuels
font fausse route.
Dont ceci extrait de son livre (FAT) :
.../...
En 1934, on se trouvait au plus profond de la Grande Dépression, c'est-à-dire dans une période marquée par un taux de chômage tel qu'on n'en avait jamais connu jusqu'alors et où de longues files d'attente devant les soupes populaires étaient monnaie courante. Aux États-Unis, un ouvrier sur quatre était sans emploi. Six personnes sur dix vivaient en-dessous du seuil de pauvreté. À New York, où Bruch et ses compagnons d'immigration étaient choqués par l'embonpoint infantile, on disait qu'un enfant sur quatre était mal nourri. Comment cela était-il possible ?
Un an après son arrivée à New York, Bruch ouvrit à la faculté de médecine et de chirurgie de l'université de Columbia une clinique spécialisée dans le traitement de l'obésité infantile. En 1939, elle publia le premier d'une série de rapports présentant les études très poussées qui avaient été conduites sur les nombreux enfants obèses qu'elle avait traités, malheureusement sans succès dans la plupart des cas.
.../...On ne pouvait ignorer, nota Bruch, que ces enfants avaient tout de même passé le plus clair de leur vie à essayer de manger avec modération afin de contrôler leur poids, ou tout au moins avaient pensé à manger moins, et qu'ils restaient néanmoins obèses.
.../... Parmi les patients de Bruch se trouvait une fillette d'une dizaine d'années à l'ossature délicate, « disparaissant littéralement sous des montagnes de graisse. » Elle avait passé toute sa jeune existence à lutter à la fois contre son poids et contre les tentatives de ses parents pour l'aider à maigrir. De même que ses parents, elle savait - ou croyait savoir - ce qu'il lui fallait faire, c'est-à-dire manger moins, et sa vie entière était définie par les efforts démesurés qu'elle faisait pour tenter d'y parvenir. « J'ai toujours su que la vie que nous avons dépend de notre silhouette », déclara-t-elle à Bruch. « À chaque fois que je prenais [du poids], ça me rendait triste et déprimée. À quoi bon vivre ? [...] À vrai dire, je me détestais. C'était tout simplement insupportable. Je ne voulais pas me regarder. Je détestais les miroirs. Ils montraient à quel point j'étais grosse. [...] Cela ne m'a jamais rendue heureuse de manger et de grossir, mais je n'ai jamais trouvé la solution et j'ai continué à prendre du poids. »
.../... Le corps médical nous enseigne que nous prenons du poids parce que nous mangeons trop et / ou bougeons trop peu - et qu'il suffit de faire le contraire pour mincir.
.../... Cette affirmation, loin d'être émise par la seule OMS,
est devenue aujourd'hui universelle.
.../... il aurait fort bien pu grossir quand même, mais cette éventualité ne lui venait pas à l'esprit : il était tout simplement prisonnier du modèle de pensée dominant.
.../... ce n'est pas parce que nous mangeons trop et bougeons trop peu que nous grossissons et que ce n'est pas en faisant consciemment le contraire que nous pouvons résoudre ou éviter le problème.
.../... Cela ne signifie pas pour autant que je veuille suggérer qu'il existe une recette miracle pour perdre du poids, ou qu'il y en ait tout au moins une qui n'implique pas certains sacrifices. Mais la question est : que faut-il sacrifier au juste ?
.../... « Les glucides génèrent de l'insuline qui génère de la graisse ».
L'insuline est aussi en lien avec 2 zones pré-frontales du cerveau associées à Résistance et Répugnance, qui sont 2 conflits d' AFRONTEMENTS et de sensations d'ABANDON .
Je n'ai pas lu le livre de GARY Taubes MAIS LES EXTRAITS PARUS CORRESPONDENT BIEN A UNE AUTRE RÉALITÉ JUSTE !
J'ai (Ned) personnellement accompagné il y a plusieurs années une dame qui faisait 30 Kg de trop . = 130Kg
Elle s'était fixé de perdre tranquillement 1 Kg par mois. Sans changer fondamentalement de régime alimentaire (elle avait "essayé" tous les régimes sans résultats !) mais en explorant tranquillement son histoire, ses abandons, ses conflits d'affrontements...
Elle à perdu ses 30 Kg.
A noter : dès le deuxième mois , elle qui ne pouvait plus ramasser une feuille de papier tombée au sol, était avec son mari à retapisser leur escalier !
Quelle(s) intolérance(s) m'empêche donc d'affronter ce que je suis et quelles peurs anciennes m'interdisent d'abandonner celle(s)-ci ?
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Et maintenant allez vous dire,
Que faire ? J'ai déjà tout essayé ! ! ...
Ma première suggestion, est de noter ( à la main c'est important) sur une feuille ou un cahier, les quelques phrases ou mots de ci-dessus qui ont eu l'air de vous amener à réagir, tant en accord qu'en désaccord.
Les phrases où vous avez dit " je ne comprends pas bien" où "ça ne me parle pas" sont peut-être les plus importantes !
Quand cela sera écrit,
commencez à répertorier et écrire les évènements de votre vie qui pourraient avoir un rapport
(même lointains, pensez comme un petit enfant )
MAIS et C'EST LE PLUS IMPORTANT
EN COMMENÇANT PAR HIER ET EN RECULANT DANS LE TEMPS.
Laissez de la place vide vous voudrez en rajouter à un moment ou un autre !
Attention aux émotions qui pourraient surgir, n'entrez pas en résistance, en conflits, en peurs, en luttes, ne tentez pas de les laissez de côté; notez-les juste en marge.
Je vous souhaite d'y retrouver beaucoup d'amour, laissez vous surprendre .
Ned
Personne n'est plus en esclavage
que celui qui croit, à tort,
qu'il est libre.
Ajout du 4/04/2019 extrait de le revue néosanté N°87 p24 (www.neosante.eu)
De très nombreuses recherches ont montré
que les troubles du sommeil étaient corrélés
avec les risques de surpoids et d’obésité. Au point
qu’une recherche parue en 2012 dans Journal of
Clinical Endocrinology & Metabolism concluait : « Il
semble prudent de recommander aux personnes en
surpoids ou obèses, qui tendent de réduire leurs apports
caloriques et d’augmenter leur niveau d’activité,
d’avoir un sommeil adéquat et, si nécessaire, de
chercher des traitements efficaces pour tout trouble
du sommeil existant. » Améliorer son sommeil fait
donc partie des stratégies pour perdre du poids.
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Ajout du 01/06/19 extrait à partir du N° 90 de néosanté.
.../...force est de constater que la part émotionnelle est présente dans bien des cas. Comment s’articulent plus précisément l’hypnose et le dé-codage biologique autour de cette problématique ? Avec l’hypnose comme outil, le décodage biologique nous donne, lui, la direction, la piste à suivre. on va donc aller chercher deux grands éléments : le déclenchant et le programmant. il est essentiel, pour s’en libérer, de retrouver le ressenti à l’origine de cette mise en « stockage maximal » de l’organisme, qui induit un besoin de manger mal et trop, une obsession en-vers la nourriture et une grande facilité à grossir. Autrement dit, les raisons pour lesquelles on a besoin de stocker la graisse. Ces ressentis sont principalement de deux ordres, parfois ils se cumulent. Cependant, l’un des deux est le plus souvent à l’origine du basculement. il est donc important de revenir à cette période, au moment où tout s’est déréglé, de retrouver l’événement déclencheur, mais surtout le ressenti émotionnel. Car un même événement selon le contexte, selon les personnes, peut engendrer des ressentis bien différents.Quels sont donc ces deux ressentis conflictuels responsables du surpoids ? D’une part, le ressenti d’agression et de manque de protection. Cette agression peut être verbale, psychologique, physique, sexuelle, voire émaner parfois d’un geste médical, donc a priori non agressif, mais vécu comme tel... Ce n’est pas forcément tant l’événement en lui-même qui est violent, mais la façon dont on ressent les choses : une blague ou un garçon qui regarde sous la jupe d’une fille peut faire tout autant de dégâts si la personne se sent agressée et atteinte dans son intégrité corporelle. Dans nos sociétés, on a tendance à devoir camoufler nos émotions et nos ressentis pour être dans cette sorte de neutralité, de « comme si de rien n’était ». Dès lors, c’est notre corps qui va devoir se dépatouiller avec nos émotions et nos ressentis, et il va le faire dans sa logique qui est « bio-logique » et n’a rien à voir avec notre logique consciente : « Je me sens attaqué(e) et dépassé(e) dans mon système de protection : je mets ma carapace, mon armure, je me cache... ». C’est cela la logique implacable de notre biologie ! Les cellules graisseuses se mettent alors au travail, et elles stockent... et stockent encore pour former cet airbag protecteur dont on a besoin puisqu’on se sent agressé, mais on ne met rien en place pour se défendre, ni même pour simplement reconnaître et exprimer ce ressenti. Reconnaître et exprimer ce ressenti est donc la première chose à faire. Quant au deuxième ressenti émotionnel déclenchant, il s’agit du manque : qu’il soit affectif (solitude, abandon) ou réel (nos ancêtres ont peut-être souffert de famine).
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Ajout du 21/06/19 extrait à partir du N° 90 de néosanté p13.
.../...Cela n’a absolument rien à voir avec la volonté, parce qu’ils veulent tous –
en tout cas ceux qui me consultent – changer, être plus légers, plus minces,
bien dans leur corps et dans leur tête. Les facteurs positifs de la motivation
sont là. Mais la motivation est un moteur qui peut aussi avoir ses
freins et ses blocages... Ceux-ci, pour la plupart, sont « inconscients ». ils
échappent ainsi totalement à la raison, à la logique et à la fameuse volonté
: c’est plus fort que tout. ils vont entraîner une perte de contrôle, une incapacité
à changer les habitudes néfastes. Et ils empêchent d’aller vers l’objectif
fixé, voire ils aggravent la problématique. on a souvent du mal à admettre
qu’une partie de nous a un intérêt à rester en surpoids... C’est pourtant
le cas, et c’est très important de le comprendre. Bien sûr, tout cela se
passe dans une partie de notre cerveau qui fonctionne sur un mode très archaïque
: le cerveau primitif qui s’occupe de notre survie biologique.
.../...
Dr PASCALE FAURE-VINCENT
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La graisse soutient les organes.
Je ne peux compter que sur moi. Ainsi le corps répond à ce déséquilibre
en faisant plus de graisse, pour soutenir.(Affrontement)
Pour cette première conclusion, retenez que la graisse ou le poids
n’est pas le problème, c’est la solution, la réponse à un vécu émotionnel.
Mais aussi les protègent .
Nous pouvons ainsi retrouver des conflits liés à des agressions sexuelles quand la graisse se situe sur les cuisses ou les fesses.
Parfois, le nombre de kilos en trop a un lien avec l’histoire du manque. (Affrontement)
Mais aussi avoir une réserve d'énergie
La graisse sert à avoir suffisamment d’énergie en cas de problème. L’objectif du corps est de
toujours être en équilibre, d’avoir le stock nécessaire à sa survie et à son énergie. (Affrontement)