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La maladie est la réponse intelligente de notre organisme !

8 Décembre 2020, 21:24pm

Publié par Bertie

Reprise de l'article paru le 21 juin 2012 :

 

 

La gestion d'un RISQUE DE MORT ou d'une GRANDE PEUR, chez les mammifères ne dépends pas directement d'un choix conscient.

 

Un essai de réponse a un commentaire de L :  La maladie est la réponse intelligente de notre organisme

et :

Les maladies ne tombent pas sans prévenir sur nos têtes par hasard un beau matin.

Notre malaise s’exprime d’abord via notre entourage et notre environnement

AVANT de la faire via le corps.

    les-maladies-ne-tombent-pas-sans-prévenir

La meilleure solution pour gérer une situation conflictuelle chez les mammifères ne dépends pas directement d'un choix conscient.

 

 

Dans le groupe des mammifères dont nous les HUMAINS sommes partie intégrante, la gestion instantanée d'un RISQUE DE MORT ou d'une GRANDE PEUR, passe par la mise en route de processus instantanés pris en charge par le(s) cerveau.

 

Réactions musculaires pour se protéger (mains en avant) ou se mettre à l'abri (course) et ne pas souffrir.

La souffrance morale étant celle que notre corps à le plus de mal à gérer puisqu'elle entraine une surcharge des circuits de neurones qui risquent de ne plus pouvoir assurer alors notre protection.

Depuis la nuit des temps (le nôtre) notre BIOLOGIE a mis en place des "systèmes" automatiques dont les deux grands PROGRAMMES sont :

  1. Assurer notre reproduction (remplacer les morts)
  2. Nous garder en vie............ par tous les moyens possibles !

 

La mise en route du programme N°1 est connu.


Celle du N°2 est moins connue et surtout cachée à notre connaissance... par différentes instances dont les pouvoirs dépendent en partie de la gestion de nos PEURS et de nos croyances.

 

Nous garder en vie, nous paraît dans nos sociétés humaines quelque chose de simple et bien organisé (assurances, finances, polices, armées, habitation, vêtements, traitement de l'eau potable, armes, clôtures, portes, serrures, monnaies, systèmes de "santé", etc...).

     Mais notre biologie neuronale ne se sert pas de ces "béquilles".

L'urgence est d'être performant dans l'immédiat, et pour éviter les "orages électriques" dans les synapses entre les neurones, la surcharge électrique va être dérivée directement vers l'organe le plus concerné ou le plus adapté par le STRESS ou le DANGER en cours.

 

Avec 4 possibilités :

  1. créer des cellules en plus (fabriquer en plus)
  2. Lyser (détruire) des cellules existantes (faire de la place)
  3. Bloquer un système hormonal (Hypo...)
  4. Accélérer une production hormonale (Hyper...)

Il existe parfois des "impossibilités" et l'ordre sera MISE à l'arrêt complet....qui entraîne un "PAT" (terme utilisé dans le jeu d'échecs ou l'on peut continuer à jouer indéfiniment, mais il ne sera plus jamais possible de prendre le Roi). Nous traduisons ce Pat par le mot Dépression.

 

Ces automatismes sont sans danger puisque organisés par le cerveau (qui ne se prend bien sûr jamais pour cible à ce stade) pour nous garder en vie et cela aussi longtemps que nécessaire jusqu'à la disparition du danger ou la résolution de stress déclencheur.

 

La MALADIE au sens que nous connaissons et utilisons apparaît APRÈS la solution ou l'arrêt du danger.

  • Les cellules en trop vont être démontées
  • Les trous vont être comblés
  • Les systèmes remis en marche normale.

Pour réaliser ce chantier, qui peut être énorme selon la durée qui à précédé cette mise en réparation, notre corps va avoir besoin de certains éléments indispensables pour éviter les "dérapages" qui peuvent devenir vite "MORTELS". ( c'est un peu comme vouloir ramasser quelque chose ou boucher un trou sur une autoroute un vendredi vers 17h !)

 

La première phase est généralement peu visible  (sauf dépistages systématiques ou pré-scorbut existant !)

La mise en réparation va être une source majeure d'apprentissages et de connaissance de soi, une occasion de grandir, de mieux se connaître et de se relier au monde .

Notre "société" nous a appris à ne pas respecter les besoins de notre corps (c'est mal !) et celui-ci (notre biologie) va tenter de nous en informer.....par le malaise ou les douleurs liée s aux réparations, œdèmes qui coincent ou obstruent ou tirent sur les tissus ou les périostes osseux...(exemples des coups reçus dans les tibias ou des maux de dents !)

La demande d'aide(s), l'apport des matériaux nécessaires, ainsi que l'arrêt de l'activité, sur l'autoroute vont être primordiaux pour rester en vie.

L'épreuve traversée dépend de la durée du conflit initial (avant solution) et du respect des besoins.

Les solutions violentes (type traversée de l'autoroute en courant !) ne devraient être utilisées que dans l'urgence (chirurgie réparatrice par exemple),

Nous manquons cruellement d'accompagnateurs performants dans nos maladies, les médecins n'étant aux cours de leurs études malheureusement pas formés à accompagner mais à dépister !

Bien souvent nous n'avons affaire qu'à du "cache symptômes" ou pire de la destruction pure et simple, donc sans espoir de retour à l'origine !!

 

Dans les bonnes conditions, GUÉRIR est un processus très simple (automatique) et juste inconfortable.

 

     Nous ne "TOMBONS" pas malades ! La partie que nous appelons maladie est celle ou les réparations sont inconfortables dans notre mécanique. Douleurs, œdèmes, sensations désagréables, fièvres...


On ne peux pas réparer pendant le "problème" mais seulement après !


      Par exemple, ON ou JE me blesse avec un couteau, tant que le couteau est dans la plaie, les cellules ne tentent pas la cicatrisation, surtout si le couteau reste dans la plaie ! Mais dès qu'il est retiré, les travaux de "remise à neuf" démarrent, avec toutes les douleurs liées aux gonflements, tiraillements, évacuations des "crasses", chute de tension...


     Aussitôt les mécanismes d'apprentissage se mettent en route dans le cerveau pour ne plus reproduire si possible ce même "problème !



     Si l'organisme ne dispose pas du nécessaire pour ces travaux de réparations, qui peuvent être vastes, longs ou nécessitant la construction de nombreuses nouvelles cellules et évacuation de toutes celles hors d'état et celle construites provisoirement comme échafaudages, alors là, AÏE AÏE AÏE !


     Les symptômes sont alors bien visibles  et des antalgiques vont donner du confort pendant cette période.


     Mais les stress "non mécaniques", donc plus psychologiques, vont occasionner des dégâts plus diffus et sur du plus long terme, par exemple les sentiments de dévalorisations ou de performance qui vont "ulcérer" les cartilages ou les cellules osseuses concernées, entraînant des difficultés de mobilité...


     C'est là que la pharmacie actuelle va servir de cache symptômes et éventuellement empêcher la prise de conscience qui permettrait de guérir de ce sentiment de dévalorisation ou de ce conflit de performance.


     Quand tout se passe idéalement, nous en ressortons grandis et porteur d'un circuit "appris" qui nous permettra de ne ne pas reproduire ce même mécanisme à l'avenir.

 

MAIS il existe des "problèmes" récurrents' qui reviennent à la charge plus ou moins souvent dans notre vie (dits conflits en balance), ce sont ceux-là les plus embêtants ! Mais qui ne dépendent que de vos réponses et prises en charge accompagnées.

Les cicatrices de "guérisons" plus ou moins réussies, vont s'accumuler que ce soit au niveau du cerveau, du psychisme, du (ou des) organes concernés...

Je vous laisse imaginer avec votre médecin habituel, et des spécialistes consultés, leurs conclusions !   

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http://bit.ly/2AhbqL6

Articles divers sur les conditions de la réparation  faites vous plaisir prenez du temps !

lien vers les "raisons" de notre cerveau de survie !

Bertie

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