Croyons-nous que l’amour vient de l’extérieur ? suivi d'un rappel de ce qu'est la maladie !
extrait de : https://perledesens.com/virus/
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☼ À travers la peur des virus, la vie m’invite à évoluer dans ma relation à l’extérieur en prenant la responsabilité de ma vie.
Cette peur des virus nous parle de conscience, de cesser de survivre et de laisser la vie couler en nous plutôt que de la croire à l’extérieur de nous. La vie, la nature, les êtres vivants, la planète, les humains, chacun de nous : tout n’est qu’une unité vivante.
Tant que nous donnons une valeur positive ou négative à l’extérieur, nous entretenons la survie animale en assurant coûte que coûte :
- notre descendance en cherchant la reconnaissance à l’extérieur de nous,
- notre alimentation en accumulant des objets extérieurs à nous par sécurité, en entretenant l’illusion du manque, l’obligation de résultat,
- notre territoire en restant attachés à ce que nous avons fait, construit, à nos savoirs, nos certitudes, notre éducation.
Et au lieu de répondre de cette vie en nous, de cette nature vivante qui est la notre, nous voulons donner un sens et une direction précise à notre vie. Et du coup, c’est l’insensé qui prend la place du sens, ce sens qui ne dépend pas de nous mais qui se révèle au fur et à mesure, comme un cadeau.
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Y a t’il un changement d’environnement affectif quand nous déclenchons des maladies virales ? Restons-nous accroché à une histoire passée, à un fonctionnement conventionnel d’entrer en relation ? Croyons-nous que l’amour vient de l’extérieur ?
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Je ne suis pas d'accord avec son approche de la maladie qui viendrait de l'extérieur ... NON, la maladie est la phase où notre organisme, géré par le cerveau reptilien (ou archaïque) organise les réparations et reconstructions cellulaires nécessaires APRÈS (souvent 6 mois) LA FIN (qui peut-être non définitive !) d'un événement (ou d'une suite d'évènements) stressant qui a pu durer et que nous avons vécu dans un certain isolement et sans avoir pu le partager.
Pour faire ces travaux, les "cellules" selon les tissus concernés, développent sur place des outils spécifiques : bacilles tuberculeux, micro-champignons, bactéries, microbes (ceux qui finissent par "coques") et les virus. Certains s'aggloméreront sous forme de tumeurs (masses) si les conditions sont mauvaises, et les autres créeront des ulcères pour les même raisons.
En cas de peur intense associée, les reins peuvent se trouver surchargés et ne pas pouvoir évacuer les liquides des œdèmes locaux associés à tout chantier de réparation.
D'où l'importance de ne pas faire baisser une fièvre avec transpiration, et même la favoriser au mieux si un problème de peur sur son territoire est concerné avec atteinte des bronches et des alvéoles pulmonaires !
La pneumonie, c'est cela ! ( Et il est plus facile de remonter les "crasses" accumulées au fond des poumons en étant allongé, que debout!).
Œdème de la sphère pulmonaire associée à un scorbut et une surcharge des reins (guérison de peurs) eux aussi en œdème et le "malade" se trouve noyé dans sa propre tentative de réparation, par manque de matériaux nécessaires et de non-respect des conditions minimum pour que le "chantier" se déroule au mieux (repos intensif au chaud, eau de très bonne qualité en quantité, suppression des produits laitiers et autres inflammatoires alimentaires potentiels, apport de vitamine C en quantité (3000 à 20000mg/j) !).
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Mais ATTENTION : Il peut y avoir des stress extérieurs, que nous ne voyons pas, qui viennent compliquer les processus biologiques ! Je penses aux ondes électroniques qui nous sont imposées de l'extérieur !
Donc pas de téléphone, ni de tablettes, ni de WIFI, ( Si vous l’avez, ne le branchez que lorsque vous l’utilisez.) dans le lit des "malades" !
Quand aux ondes 5G à venir ( déjà présentent à haute dose à Wuhan) nul ne sait comment des cellules fragilisées vont réagir !
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Bertie
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