Informations virales ? une nouvelle approche par le Dr ANCELET.
VIRUS ET IMMUNITÉ Une symbiose ignorée
Un dossier d’Éric Ancelet
(extraits choisis par Bertie LAVIE dans Néosanté N°104 p7 et suivantes )
Demain paraîtra un article sur les "moyens de guérisons".
.../...Et notre relation particulièrement conflictuelle au monde microbien (base fondamentale de tout le vivant) est cause et effet de cette dysbiose généralisée qui pervertit, asservit, anéantit toutes formes de vie en nous et autour de nous. La maladie résulte de cette distance, de cette déconnexion du réseau symbiotique global. Plus la déconnexion s’intensifie, avec pour conséquence l’effondrement de la biodiversité, la destruction massive et systématique des symbiotes, plus la maladie devient profonde et irréversible, et la violence inévitable. À l’inverse, la santé est la résultante d’une connexion forte au réseau symbiotique, à la symbiodiversité.
…/… L’interprétation des propos de Charles Darwin, comme l’adoption des théories erronées de Louis Pasteur, découlent de cette attitude dominatrice validée par tous les conquérants, qu’ils soient guerriers, missionnaires ou marchands. En réalité, s’il y a bien une « sélection naturelle », elle ne peut être conçue comme une lutte éternelle de chacun contre tous et de tous contre chacun, une sélection brutale qui favoriserait des « forts » et éliminerait des « faibles », et permettrait ainsi aux plus « aptes » de survivre, procréer, occuper l’espace, asservir les « inférieurs » humains et non humains, polluer et gaspiller les ressources communes. Certes des confrontations existent à certains moments et dans certaines conditions, comme lors de pénurie, du rut ou de la prédation, mais ces événements ponctuels ne constituent pas la trame fondamentale des relations, lesquelles sont plutôt paisibles chez toutes les espèces non humaines. Aucun être singulier, ni aucune espèce, fut-il ou fut-elle fort(e) et apte dans certains domaines, n’est destiné(e) à dominer et exterminer tou(te)s les autres, ou accéder à ce privilège de ne plus vieillir ni mourir. Seule l’espèce humaine vit dans cette illusion !
…/…Le vivant est un flux continu au sein d’un réseau dans lequel chaque forme apparaît, se transforme, disparaît, selon des dynamiques complexes regroupées par Darwin sous les termes « sélection naturelle ». Toutes les formes de vie sont « aptes », pertinentes, pleines de sens et... éphémères ! Et dans cette trame fluide, vibrante, chatoyante, les virus jouent un rôle essentiel, celui du messager qui parcourt le réseau biotique, celui qui unit, relie, informe et transforme afin que « chaque un » s’ajuste aux métamorphoses évolutives du « tous ». Les virus sont ce qui dans le vivant génère les ajustements nécessaires à la pérennité de l’ensemble. Ce qui ne peut pas, ou ne veut pas, s’ajuster (trouver une posture juste) va se dévitaliser, « tomber malade », et si la maladie ne peut établir un nouvel équilibre, il ne restera qu’une seule option possible, disparaître.
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Les cellules accueillent-elles les virus ?
En effet, pourquoi accueillir des microbes, des virus, et les vé-hiculer vers des sites précis, ce que l’on nomme des « cellules cibles » , si cela nous rend « malades » et peut même nous anéantir en tant qu’êtres individués ? Cela n’a évidemment aucun sens….si la maladie elle-même est dénuée de sens, et si le fait de disparaître (changer de forme) n’est pas perçu et intégré comme une étape essentielle de la vie. Par contre, si le microbe est une information utile, si la maladie a du sens, et si l’immunité est un système très élaboré de communication avec le réseau microbiosphérique, nous voyons apparaître la possibilité d’évoquer la symbiose là où nous ne percevions qu’antagonisme et perpétuel combat…
…le système immunitaire est chargé de les accueillir, de les décoder (interpréter le message), de les orienter (vers certaines cellules), de superviser leurs actions régulatrices, immédiates ou différées selon la nature, l’intensité et la durée des dissonances et conflits qui les ont activés. L’information virale est toujours intégrée aux structures mémorielles de l’organisme récepteur (conservation des informations),
…/…Grâce aux virus, nous pouvons nous relier, nous informer, nous dépolluer, nous adapter, dépasser nos conflits psychobiologiques, apprendre à devenir un « être nouveau » à chaque instant de nos vies. Ce processus est la base même de la vie ! Des milliards d’organismes constitués de milliards de cellules produisent des milliards de virus afin de pérenniser cet incroyable foisonnement qui anime notre planète depuis des milliards d’années. Les virus naturels ne sont donc pas des « parasites », et ils ne sont pas « pathogènes » ! Par contre, les virus vaccinaux, les vi-rus de synthèse issus des bio et nanotechnologies, sont des intrus, de vrais parasites et de vrais pathogènes, destinés à perturber l’expression et l’expansion de notre conscience individuelle et collective, de notre empathie, de toutes nos émotions.
-Étymologiquement, le terme épidémie désigne « quelque chose qui circule ».
- L’épidémie ou la pandémie tel que nous entendons ces mots (maux), la maladie avec une forte expression de symptômes pénibles, tout cela traduit toujours un conflit, c’est-à-dire une rupture d’équilibre et un dysfonctionnement dans les relations aux autres vivants humains et non humains. Aujourd’hui ces mots épidémie et pandémie, tout comme microbe, virus, contagion et maladie, sont devenus péjoratifs et très anxiogènes, car indissolublement liés dans la conscience collective à la souffrance et à la mort, sans que nous percevions notre implication, notre responsabilité dans l’apparition des pathologies qui nous affligent. Le conflit sous-jacent à toute maladie n’est (plus) jamais perçu comme une cause première.
… manipulations et mensonges amplifiés par les médias, utilisation à des fins de contrôle...) qui peuvent avoir des conséquences désastreuses pour l’évolution des consciences … Nous humains, voudrions ne plus être malades (voire ne plus vieillir ni mourir !) sans conscientiser ni solutionner nos conflits individuels et collectifs. C’est absolument impossible !
…/…C ’est à nous tous humains de saisir le sens de ces bouleversements bio-logiques que nous regroupons sous l’expression « être malade », et dont nous attribuons toute la responsabilité aux microbes et virus. Il nous faut saisir le véritable sens de nos maladies, et changer au plus vite de cap pour le bien de tous. Alors ? Le Covid-19 est-il une épidémie virale ou une épidémie de peur ?
…/… Le système immunitaire n’a pas pour fonction de nous maintenir vivants quels que soient nos agissements ! Il ne peut nous protéger de nous-mêmes, des conséquences de nos excès et de nos exactions.
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Que signifie « être malade » ?
Depuis toujours, deux visions, ou plutôt deux interprétations du phénomène « maladie », s’affrontent radicalement. L’une fait de la maladie une situation dénuée de sens (signification et direction), et du corps un bastion conçu pour se défendre contre toute invasion microbienne à l’extérieur, et toute prolifération cellulaire « anarchique » à l’intérieur, aidé en cela par les antibiotiques et les vaccins, toute la gamme des « anti » dont le dénominateur commun est une grande toxicité et une efficacité médiocre. C’est le monde selon Pasteur. La seconde interprétation fait de la maladie la résultante d’un conflit, ou d’une multitude de conflits, individuels et collectifs, et de ce fait une occasion de prendre conscience de ces conflits, de se mettre en quête de solutions existentielles afin d’atteindre un nouvel équilibre et revenir à l’homéostasie. Être malade signifie ici (tenter de) « guérir », ne plus involuer dans la violence de la dissociation, reprendre une juste place dans la coévolution des espèces, car « être » et « devenir » n’est jamais un destin individuel, toujours un chemin parcouru en cohérence avec l’ensemble du vivant. C’est le monde selon Hippocrate, et bien d’autres après lui, notamment Antoine Béchamp. La maladie nous invite à recréer du lien dans un contexte plus équitable, moins inégalitaire, où chaque individu de chaque espèce visible ou invisible a une valeur identique et un rôle essentiel à tenir.
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La contagion, l’épidémie, voire la pandémie, indiquent que plusieurs personnes ont le même conflit (de séparation, de territoire, de peur de la mort...), ou simplement la même peur d’ « attraper un microbe » et de « tomber malade ». Nos multiples façons d’être malade traduisent donc tout à la fois la diversité, l’ancienneté et l’intensité de nos conflits, mais aussi nos tentatives réitérées de les résoudre.
…/… PERSONNE ne meurt d’une maladie virale ! (p11)
Nous mourrons de l’intensité et de la multiplicité de nos conflits individuels et collectifs, et de la destruction très rapide de notre planète. La maladie témoigne de cela, et ses multiples manifestations surviennent tant durant la phase de « conflit actif », que durant la phase de « réparation », si nous parvenons à dépasser et solutionner le conflit… cette capacité à résoudre nos conflits s’effondre très vite, du fait du « déficit de nature », … de la malnutrition …, des multiples pollutions chimiques (dont les médicaments et les vaccins), électromagnétiques (5G...), émotionnelles et numériques (écrans, médias). Tout cela induit une dévitalisation et un vieillissement prématuré avec de sévères déficiences neuro-endocrino-immunitaires. Le véritable problème de nos cultures dominantes hors sol, c’est la disparition de l’empathie, avec cette compulsion à piller et détruire notre lieu de vie et ses cohabitants, associée à un déni culturel de la vieillesse, de la maladie et de la mort. Nous tolérons la disparition de centaines d’espèces par jour, nous tolérons la pauvreté et la réduction en esclavage de milliards de nos semblables qui s’épuisent à générer notre confort technophile et techno-dépendant, mais nous ne supportons pas même l’idée de la mort d’un proche !
…/…p12
Le virus peut être « à usage interne », …. Ou « à usage externe », être émis à l’extérieur de cet organisme par la voie muqueuse, et transféré à d’autres organismes qui à leur tour vont pouvoir bénéficier de l’information… C’est cela que l’on nomme « contagion », et échanges intimes propres au monde vivant dans son ensemble …. Ces échanges continus entre nous, … génèrent du bien-être et du plaisir par le biais des endorphines. Être en contact nous détend, nous rend joyeux, stimule et renforce notre immunité et notre motivation à vivre. … l’espace de l’intimité est aussi l’espace du partage, de la « contagion ». Générer la suspicion et la peur de l’autre pour nous confiner, nous tenir à distance, empêcher le contact, c’est créer une confusion entre le plaisir de vivre et la crainte de la mort, c’est nous condamner tous au conflit insoluble, à la stagnation, à l’involution, à la dépression et aux multiples pathologies mentales et somatisations induites. C’est aussi pérenniser la soumission et l’asservissement aux oligarchies qui se prétendent seigneurs et maîtres de tous les vivants de ce monde.
Peur du virus, virus de la peur
…/…Ceux qui manifestent des symptômes et « tombent malades » sont ceux dont les conflits nécessitent des réajustements existentiels, et surtout ceux qui vivent dans la peur. La peur entrave ce processus par ses puissants effets immunodépresseurs. Le virus en lui-même ne génère pas la peur ! La peur du virus (et de tout microbe), la peur de la maladie (et de tout changement existentiel), sont des phénomènes culturels nés d’interprétations partielles (Darwin) ou erronées (Pasteur), et amplifiées par les médias jusqu’à la démesure du confinement dévitalisant. Beaucoup des décès imputés au coronavirus sont en fait des morts dues à la peur du coronavirus chez des personnes déjà très affaiblies et soumises à un environnement très anxiogène (personnes décrétées « à risque », ambiance de panique, isolement affectif...).
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